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Je suis à Kiritimati, le plus grand atoll du monde et peut-être le plus ancien, coincé entre lagon et océan. L’horizon est partout. Cette ancienne île Christmas, appartient à la république des Kiribati (33 îles réparties entre îles Gilbert, îles Phoenix et îles de la Ligne) dont la capitale est Tarawa-Sud dans l’archipel des îles Gilbert, à 3300 km d’ici (4 heures de vol)... Dive now !
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UWATEC : une autre manière de plonger

UWATEC est née en 1983 à Hallwil, au coeur de la Suisse, à mi-chemin entre Zurich et Lucerne. Notre ligne initiale de produits était constituée par des instruments de plongée analogiques simples et fiables. En 1987, le premier ordinateur UWATEC, l'Aladin PRO a constitué une révolution pour tous les plongeurs. Les ordinateurs de plongée de cette époque (en particulier les modèles Edge et Décobrain) étaient gros, gourmands en énergie et hors de prix. Les petites dimensions de l'Aladin PRO, son grand affichage, sa gestion intelligente du courant (afin d'économiser l'énergie) et son prix abordable en ont rapidement fait la référence en la matière...
Son succès a largement contribué à la généralisation des ordinateurs comme moyen de décompression pour les plongeurs. L'Aladin PRO a, d’une certaine manière, changé notre manière de plonger. D'autres ordinateurs et instruments UWATEC ont suivi, en particulier l'Aladin PRO Nitrox, la famille Air X et la console Air. Au début des années quatre-vingt-dix, UWATEC était ainsi devenu synonyme d'ordinateur de plongée.

En 1997, UWATEC s'est associé à Johnson Outdoors et SCUBAPRO, et notre réussite a été confortée, d'abord avec l'introduction du Pro Ultra et de la famille Air Z (1999), puis avec les modèles Smart PRO et Smart COM (2001-2002), qui étaient les premiers à utiliser des processeurs 32 bits. Aujourd'hui, la ligne Smart est complétée par l'ordinateur sans flexible multigaz Smart TEC, et la famille Aladin comprend notamment les ordinateurs compacts PRIME et TEC2G, pour n'en citer que quelques-uns. Nous avons aussi perfectionné nos profondimètres analogiques et numériques et modernisé notre technologie dans tous les aspects touchant aux instruments de plongée et aux logiciels téléchargeables afin de parvenir à une sécurité et à une communication maximales.

Les ordinateurs UWATEC sont uniques dans leur secteur. Nous sommes les seuls à offrir un algorithme adaptatif qui suit le comportement du plongeur sous l'eau et qui modifie les calculs de décompression pour prendre en compte ce comportement. Nos ordinateurs intégrant les gaz sont les seuls qui prennent en compte tous les changements dans le schéma de respiration afin d'estimer l'effort du plongeur et actualiser le calcul de décompression en fonction de ce comportement.
Nos ordinateurs sans flexible ont une technologie de codage brevetée qui empêche les interférences entre les émetteurs appartenant à différents plongeurs. De plus, une fois l’émetteur appairé avec l’ordinateur, il n’est plus nécessaire de recommencer l’opération au cours des plongées suivantes. UWATEC est aussi le seul fabricant qui utilise des processeurs 32 bits et une technologie à bain d'huile.

Grâce à toute la technologie développée par UWATEC, nous sommes aujourd’hui fiers de proposer la nouvelle plate-forme Galileo, premier ordinateur de plongée au monde a être doté d’ un moniteur de pouls intégré, d’un processeur reprogrammable en externe ainsi que d’un compas numérique à dévers complet.

UWATEC est toujours situé à Hallwill, en Suisse dans un nouveau bâtiment ultramoderne, où l'administration, les services de recherche et développement et la production travaillent côte à côte et en totale synergie. Nous sommes une entreprise très “verticale”, nous moulons nos propres pièces, nous produisons nos propres circuits imprimés et nous fabriquons nos produits de A à Z en les contrôlant à tous les stades de leur fabrication. Cette démarche de recherche, ce souci de qualité, nous les entretenons pour que les utilisateurs de matériel UWATEC possèdent les meilleurs instruments, les ordinateurs les plus performants afin que leurs plongées soient les plus belles possibles. Tout simplement.

Le ZH-L8 ADT et la prise en comte de la température

L’homme est un homéotherme, c’est-à-dire que son organisme est capable, dans des conditions normales, de maintenir et de réguler sa température interne à environ 37 °C. Pour compenser une chaleur excessive, le corps utilise des mécanismes tels que la transpiration (l’évaporation est créatrice de froid) et la vasodilatation des vaisseaux sanguins périphériques.

Au contraire, pour compenser le froid, outre le port des vêtements, le corps va déclencher un phénomène de vasoconstriction : la circulation sanguine dans les membres est ralentie afin de privilégier les organes vitaux. Si cette vasoconstriction s’avère insuffisante, des frissons réflexes superficiels puis profonds dégagent une quantité d’énergie et donc de chaleur considérable mais l’organisme a atteint ses limites.

En eau froide, les mains, les pieds, les bras et les jambes du plongeur sont les premiers à ressentir le froid. Le cerveau a déjà réduit la circulation sanguine dans ces zones de manière à protéger les organes vitaux. Ce flux sanguin réduit modifie la saturation et la désaturation des tissus. Il doit être pris en compte dans l'algorithme de décompression pour une meilleure sécurité.

Analysons le déroulement classique d’une plongée en eau froide


Le plongeur ou la plongeuse porte une combinaison étanche et des sous-vêtements protecteurs. La plongée commence, le plongeur a emmagasiné des calories, la situation est confortable sans aucun signe de froid. Tout au long de cette phase initiale la circulation sanguine du plongeur est normale : il sature normalement. Au fur et à mesure que le temps passe, le froid gagne l'intérieur de la combinaison et des sous-vêtements, le plongeur brûle ses calories, il se fatigue et commence à ressentir le froid. Le cerveau enregistre cet état, le flux sanguin dans les membres diminue. Si, à ce moment, le plongeur entame sa remontée, la désaturation commence. Cependant, à cause de la circulation sanguine réduite, l’élimination de l’azote sera plus lente que son absorption. À paramètres de plongées égaux, il en résulta que le froid impose donc une décompression plus longue qu’en eaux tempérées.

Considérons maintenant la situation particulière des lacs en été. Les eaux sont tempérées jusqu'à 10 à 15 mètres, mais au-delà e cette profondeur, la température reste la même qu'en hiver (environ 4 à 6 °C). Le plongeur qui commence à avoir froid lors de la plongée ne devrait donc pas être affecté par la vasoconstriction dans as phase de décompression puisque la plus grande partie de la désaturation s’effectuera à 6 m et au-dessus, c’est-à-dire à une profondeur où la température sera de nouveau clémente. Un ordinateur de plongée peut prendre en compte une telle situation si la mesure de la température est suffisamment rapide pour mesurer et mémoriser, lors de la descente, la température réelle de la zone des paliers.

C'est exactement ce que font les ordinateurs Galileo et Smart : lors de la descente, la température au-dessus de 7,5 m est mesurée et conservée en mémoire. Cette valeur est ensuite appliquée pour toutes les décompressions aux profondeurs de 3 mètres et 6 mètres.

Il en résulte que, s'il y a un fort gradient de température, le plongeur possédant un de ces ordinateurs ne sera pas pénalisé par les eaux froides rencontrées dans les parties les plus profondes de la plongée. Afin de garantir les mesures, les ordinateurs Galileo et Smart ont un algorithme d'accélération de la température prédictif en fonction de la vitesse initiale de refroidissement. (Cela n'est pas nécessaire pour le Smart COM qui possède un détecteur fixé à une partie métallique exposée à l'eau et donc une mesure quasi instantanée de la température).

La ligne Aladin (ONE, PRIME et TEC 2G) possède également un algorithme d'accélération de la température. Cette ligne peut toutefois se présenter de nombreuses façons, que ce soit sous forme d'ordinateur bracelet, d'ardoise ou de consoles. Ainsi, certaines consoles isolent l'ordinateur Aladin de la température extérieure, et introduisent un délai non négligeable dans la détection de la température.

Il peut donc arriver que lors d'une chaude journée de début de printemps, l'ordinateur exposé au soleil pendant un bon moment affiche une température de 25 °C lors de la descente des dix premiers mètres, et affiche encore 25 °C alors que la température réelle de l'eau n'est plus que de 4 °C. Cela serait un inconvénient pour le plongeur qui n'aurait pas le niveau de protection adéquat contre la vasoconstriction (et ce serait la même chose avec les ordinateurs de n'importe quel autre fabricant). Pour cette raison, les ordinateurs Aladin n'enregistrent pas en mémoire la température à 7,5 m mais détectent toujours la température de l'eau instantanée telle qu'elle est calculée par l'algorithme d'accélération. Il en résulte que pour les plongées avec de forts gradients de température, un Aladin affichera toujours au départ plus de décompression qu'un Smart ou Galileo équivalents. Dans la phase de décompression, alors que l'Aladin se réchauffe et commence à appliquer les paramètres de circulation corrects, en fonction de la température de l'eau plus chaude, il décomptera plus rapidement les minutes de décompression qu'un Galileo ou un Smart, finissant par arriver à un temps de décompression raccourci pratiquement identique.

Sur les fichiers joints, nous montrons un tableau qui résume les plongées avec le carnet de plongée Smart TRAK inclus. Dans cet exemple, une plongée dans un lac de montagne avec un gradient de températures de 16 °C entre les faibles profondeurs et les profondeurs plus importantes a été effectuée avec les 4 ordinateurs suivants :
  • Aladin PRIME réglé en permanence à 2 °C
  • Aladin PRIME réglé en permanence à 25 °C
  • Aladin PRIME avec la mesure normale de température
  • Smart Z avec la mesure normale de température et la mémoire à 7,5 m
La différence entre les durées de décompression entre le PRIME réglé à 2 °C et celui réglé à 25 °C quantifie l'effet général de la vasoconstriction dans la configuration la plus défavorable. Le Smart Z montre qu’en cas de gradient de température important et par la mise en oeuvre intelligente d'une mémoire de la température au-dessus de 7,5 m, on peut minimiser l'effet de la vasoconstriction en obtenant des temps de décompression très proches de ceux du PRIME réglé sur 25 °C. Le PRIME en mode normal montre que les temps de décompression sont tout d'abord similaires à ceux du PRIME réglé sur 2 °C, mais finalement, une fois de retour dans les eaux moins profondes et plus chaudes, le temps de décompression diminue pour arriver à un décompte proche de celui du Smart Z.

Les autres ordinateurs du marché n’intègrent pas le paramètre “froid”, ou le font en proposant simplement des temps de plongée sans décompression plus courts. Encore faut-il que le plongeur ait pensé à régler son ordinateur sur le mode “froid”… Les ordinateurs UWATEC font le travail pour vous.

Par une conception intelligente et un développement du produit adapté, le plongeur dispose d’un outil qui analyse les véritables conditions, et trouve la solution qui convient le mieux aux circonstances. Lorsqu'il y a une limite inhérente aux possibilités, comme par exemple dans le cas des consoles Aladin, UWATEC maximise la protection du plongeur grâce à un traitement adapté des données de température retardées.

Le ZH-L8 ADT et la prise en compte l'effort

Au cours de la plongée, le sang transporte l'azote depuis les poumons vers les diverses parties du corps, les tissus, jusqu’à atteindre un état d’équilibre appelé saturation. Lors de la remontée, le processus s’inverse : les tissus rejettent l'azote dans le sang et le plongeur élimine naturellement cet azote par la respiration : c’est la désaturation qui doit être conduite selon un modèle de décompression précis.

Toute modification du flux sanguin a donc une incidence sur l'absorption et le rejet de l'azote.
Or, nous savons qu’un exercice physique induit une augmentation du métabolisme avec élévation du rythme cardiaque. Les efforts en plongée affectent donc la saturation comme la désaturation. Si le fait est connu depuis longtemps, aucun fabricant avant UWATEC en 1995, n’avait pris en compte cette réalité physiologique très importante. Véritable percée technologique à l’époque, UWATEC intégrait le paramètre de l’effort en mesurant le rythme respiratoire — proportionnel à l’effort — grâce à l'ordinateur de plongée Air X. Equipé d’un émetteur monté directement sur le premier étage du détendeur,, celui-ci était capable de mesurer et d’analyser la consommation d’air sans flexible. Il faut noter que cette mesure du rythme respiratoire a imposé de changer les tissus utilisés pour le calcul de la décompression.

Afin d’obtenir une mesure de référence, l'Air X (puis son successeur, l'Air Z et jusqu'à la ligne des Smart actuelle) analysait la respiration du plongeur lors des deux premières minutes d’immersion. Le plongeur n'avait et n’a toujours pas besoin des données initiales de pression et de volume de sa bouteille. Les ordinateurs UWATEC le font automatiquement. De plus, l’ordinateur Smart TEC, capable de gérer plusieurs gaz respiratoires, réinitialise la mesure (toujours en deux minutes), lors d’un changement de gaz au cours de la plongée (par exemple de 21 % d’O2 dans un bloc de 15 litres, au nitrox de décompression à 50 % d’O2 dans une bouteille de 5 litres).

Lors d'un effort important, le pouls peut être multiplié par 3 voire 4 avec une augmentation du flux sanguin inégalement distribuée dans les divers tissus. Le système nerveux central n'est pas affecté, la peau, la graisse et les os reçoivent jusqu'à deux fois le flux sanguin habituel et les muscles, gros consommateur d’énergie, jusqu'à dix fois.

Comment le ZH-L8 ADT gère-t-il une telle situation ? Des études ont été effectuées sur des plongeurs “normaux” équipés d’un scaphandre classique. Soumis à un test d’effort sur une bicyclette à plusieurs niveaux de puissance, ils étaient reliés à un dynamomètre en surface.

L’analyse ultérieure des schémas respiratoires et cardiaques a permis d'établir une relation entre la modification de la respiration, le pouls résultant, et le niveau de puissance mesuré.

L'éventail de l'effort compris entre 50 W (plongeur détendu) et 200 W (effort important) est alors divisé en 7 catégories. À chaque catégorie d’effort correspond un paramètre adaptatif de la circulation dans chaque tissu de périodes comprises entre 40 et 320 minutes. Ces paramètres ont été établis à partir de données physiologiques humaines connues.

En 2007, UWATEC fait un pas supplémentaire dans la précision en introduisant un nouveau paramètre dans le calcul de son algorithme adaptatif lié à l'effort. Si la prise en compte de la respiration comme évaluation de l'effort était astucieuse, le pouls constitue une indication bien plus directe et précise du flux sanguin. Le coeur pompe le sang et chaque battement correspond à un volume de sang circulant. Plus le coeur bat vite et plus le volume sanguin et donc la perfusion est important. Avec le cardio-fréquencemètre intégré de l’ordinateur Galileo, basé sur la technologie du leader mondial Polar, la relation entre l'effort et l'algorithme adaptatif atteint désormais un haut niveau de sophistication.

Le plongeur doit mesurer son pouls lors d'une plongée normale, sans stress, puis entrer ce pouls “de base” dans le menu approprié. Il doit également entrer le pouls maximal lié à son âge. À partir de ces données, Galileo définit les différentes catégories d'effort. Un filtre temporel empêche les courts passages dans une autre catégorie (lors d’une émotion, par exemple, le rythme cardiaque accélère mais sans réelle augmentation du flux sanguin).

UWATEC a effectué un grand nombre de tests afin de déterminer les relations entre l'effort exprimé par la respiration et celui exprimé par le pouls. Les courbes qui en résultent permettent de constater que la respiration du plongeur ”enveloppe” les informations liées au pouls. Autrement dit, l’adaptation à l'effort calculée avec les variations du rythme ventilatoire est plus conservatrice que celle calculée avec les variations du pouls parce que moins précise. La plus grande finesse de mesure liée aux variations du pouls permet une bien meilleure évaluation de la saturation/désaturation et donc un calcul plus précis des paliers à effectuer.

UWATEC, la technologie au coeur de votre aventure sous-marine

A propos de SCUBAPRO UWATEC:

SCUBAPRO UWATEC est un fabricant haut de gamme de matériel de plongée sous-marine qui emploie 400 collaborateurs répartis sur 17 sites, 13 pays et 4 continents.
Au moins 1 collaborateur sur 2 est plongeur, dans de nombreux pays ce ratio atteint 80%, et plus d’un tiers possède une qualification d’instructeur. Chez SCUBAPRO UWATEC nous totalisons 1500 ans d’expériences en plongée. SCUBAPRO UWATEC fait partie de Johnson Outdoors Inc.

Pour plus d’information :
  • Bruno GUIMBARD
    • French Sales Manager
    • Tél: +33 4 92 91 30 30
    • Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
  • Nicolas VINCENT
    • Marketing Product Manager
    • Tél: +33 4 93 33 90 96
    • Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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